dimanche, décembre 16, 2007

Pensée

Un bout de temps déjà....

Mon cœur se noie
Dans cette magie insensée
Mon âme se confond
A celle du bien aimé
Ma vie dépend
De sa propre volonté
Le désir me brûle
Et mon angoisse ne fait qu’augmenter
De me réveiller un jour
Et de me retrouver
Seule au monde
Et complètement abandonnée

Une peur me prend
Et je me laisse à penser
Que si je romps
Je serais protégé
Des maléfices qui courent
Et qui ne font qu’emprunter
Les chemins de mon cœur
Qui se trouve désorienter

Je ne sais quoi faire
Sinon me retourner
Vers mon passé lointain
Et tout cabossé
Pour peut être jouir
De cette incertitude désirée
Qui ne fait de moi
Qu’une personne égarée
Dans cette folie humaine
A laquelle je suis destinée

mardi, septembre 12, 2006

Mon Esclave

Ecoute moi de tout ton coeur
Observe moi de tout ton être
Parle moi avec tout ton corps
Tu es à moi, tu m’appartiens
Tout en toi, toute ta personne
Tu es mon esclave et mon maître
Tu m’es soumis et tu t’abandonnes à moi
A seule condition que tu sois en moi
A seule condition que tu ne regarde que moi
A seule condition que je sois ta pensée
Ta vie et tes désirs
Je suis ta destinée, ta seule croyance
Ton âme est mienne
Ton corps m’est dévoué
Tu es mon servant fidèle
Tu es mon cœur engourdi
Reste à mes côtés
Reste dans l’enclos que je t’ai confectionné
Reste dans le monde que je t’ai dessiné
Et surtout n’en sors pas
Tu es mon oxygène
Je suis essoufflée sans toi
Je suffoque et j’en meurs
De ton absence et de ton ignorance
Je ne puis vivre sans toi
Crois moi mon amour
Crois moi mon cœur
Crois moi mon esclave
Je te voue un amour sans limite
Un amour sans gène et sans frontière
Je te déguste à petite gorgée
Je te savoure à petit feu
Par peur que tu n’en meurs
N’aies aucune crainte
Ce que je te fais subir est savamment calculé
Tes réactions en sont les preuves
Plus tu me fuis et plus je m’acharne
Tu choisis la voie de la facilité et des délices
Tu ne me comprends point
Et cela ne me surprend pas
Reste à mes côtés
Et sois fidèle à moi
Reste tranquille et suis moi
Tu es mon esclave et je reste tienne

mardi, août 29, 2006

C'est une petite histoire et pas un pseudo poème, je m'ennui beaucoup donc....



Il le dessina à son image
Il lui souffla de sa vie
Lui offrit le paradis

Il vivait dans le jardin d’Eden
Il était léger et libre
Il disposait de ses actes, de sa force
C’était un être parfait
Parfait, tout de même pas
Sa vanité a prit le dessus
Il se croyait puissant
Et a oublié l’origine de sa force

Il a été déçu
Par le comportement de sa créature
Par son arrogance et ses vices
Il a décidé de le tester
De lui priver d’une de ses liberté

« Tu as le droit de tout goûté
« Tout touché et de t’y promené
« Sauf ce petit arbre qui est dréssé
« Dans ce jardin que je t’ai confectionné
« Avec amour pour toi, ma créature bien aimée

Il en fut ainsi pour un moment
L’homme tout seul vagabondant
Lui le roi, lui le plus aimé
Les anges admiraient sa beauté
Et le diable la lui enviait

Sa curiosité a prit le dessus
Sa vanité a prit un coup
Son soit disons ami lui conseille
De goûter à ce fruit et de ne point écouter
Ce vieux monsieur qui le lui interdisait

Et il en fût ainsi
L’homme a manqué sa parole
Il a perdu sa foi
Il a perdu la confiance qu’il a méritée

Peiné, le Seigneur l’a rejeté
De son jardin d’Eden et l’a congédié
De ce paradis qui lui était destiné


Ennui. Un désert qui me traverse.




La vie est courte, mais l'ennui l'allonge. Aucune vie n'est assez courte pour que l'ennui n'y trouve sa place.

[Jules Renard]

Guitare, jamais utilisée!!


Bruit. Puanteur dans l'oreille. Musique non domestiquée. Produit principal et signe authentique de civilisation.

lundi, août 28, 2006

Petite pensée

Une nuit sans lune ou un jour embrumé
Une nuit blanche ou sombre comme journée
Un enfant blessé ou une enfance volée
Une famille brisée ou à moitié massacrée
Par les tirs ennemis et toute cette brutalité
Par de jeunes soldats à demi enragé
La soif de la mort et celle de tuer
Des familles entières et de martyriser
Des civils innocents et passer à côté
Du but fixé à l’avance et celui débiter
Pour mettre fin à un peuple déjà marginaliser

Honte à eux et à leur logique à deux balles
Qui leurs a inculquer cette volonté et cette sauvagerie
A assassiner les gens par rafales
Pour une cause déjà oubliée

La vision d’horreur a fait d’eux des machines
Prêtent à tirer au premier coup de sifflet
Sans se soucier de la cible à viser

Tant qu’il y a du sang ennemi tant qu’ils sont fiers
Du travail établi et des objectifs tracés
Ils méritent tous les châtiments du monde mais
En regardant leurs yeux d’enfants égarés
Mâchant des chewing-gum mentholés
Pour ôter ce goût du sang frais
Qui leurs emplis la bouche et les rend affamés
De mort et de viole comme des zombis
Ils ont tout perdu
Leur âme, leur foi et toute parcelle d’humanité
On reste coi devant cette bêtise sans gène
Et on tire un trait sur ce chapitre

vendredi, août 25, 2006

la fraternité

Un terme commun et pourtant tant ignoré
Par l’ensemble du monde et par toute l’humanité
On se croit meilleur parce que Dieu nous a donné
La beauté, la richesse et un nombre d’amis incalculés
Notre regard inquisiteur et notre façon déplacée
De juger les gens qui n’ont pas été épargné
Par un physique ingrat et une vie misérable
C’est difficile de comprendre comment tout avait commencé
Dans un patelin, une ville ou à travers toute une communauté
Ce désir de nuire à l’autre et ainsi se montrer
Supérieur ou grand seigneur, mais surtout bien en vue
A l’instar du monde, sur le dos de ses frères
Il remonte la pente et ne regarde point en arrière
Là où il a laissé sa famille et tous ses congénères
Et pourtant c’est eux qui l’on aidé à grimper
Les échelles de la gloire et ceux de la société
Ça parait terrible et surtout insensé
De voir le monde comme ça, s’exalter
Devant cette réussite pourtant non mérité
De cet être qui a ni cœur, ni bonté
Et qui ne se gène guère à conter
Au reste du monde son histoire et son passé
Il critique ses proches et tous les effrontés
Qui n’ont pas réussi à vivre selon le rythme qu’il suivait
La tolérance, la différence sont des termes oubliés
De son vocabulaire et de toute sa personnalité
Pour lui il n’y a nulle raison d’invoquer
Ces mots et ces expressions tant éloignées
De toute sa vie, il n’avait jamais pensé
Qu’un jour il aurait besoin d’un brin de fraternité
L’amour pour lui se résume en un bout de papier
Un peu d’argent ou une feuille d’un chéquier
Il a oublié l’essence de la vie et la clé du bonheur
Pour lui il ne se résume que dans un sourire flatteur
Un sourire éphémère et sans aucune valeur
Le pire c’est qu’il ne fait pas l’exception dans ce secteur
L’ensemble de l’humanité semble axée
Sur cette voie d’intolérance et de manque de fraternité

jeudi, août 24, 2006

Petit Garçon


L’estomac nouer et le visage crisper
Le regard absent et limite distrait
Les lèvres minces et à moitié fermées
Les yeux mi clos et des larmes coulaient
Sur ce visage d’enfant à moitié changé
Par cette douleur intense et toute fois insensée
Vers ce petit être innocent elle a été dirigée
Par erreur sans doute elle lui a été infligée
Mais sur son petit cœur ces traces ne seront jamais effacées
Sa détresse est telle qu’il se trouve paralysé
Dans le gouffre qu’est la vie, il a été égaré
Son regard, ses gestes tout en lui s’est retrouvé
En une fraction de seconde son innocence s’est envolée
Et a été remplacée par la cruelle dureté
Du monde réel et de toute son incommodité
Une vision d’horreur l’a à jamais enveloppée
Pauvre petit, malheureuse destinée !!

La Maudite














Tu étais mal renseignée
Sur ce bled pourris et mal fréquenté
Point préparé à affronter
Cette image du monde effarouchée
Toi qui ne connaît de la vie que ces bons côtés
Une mère chaleureuse et une dot à côté
Pour les moments de crises, elle y était destinée
Et voila qu’un beau jour tu avais décidée
De tout laisser tombé et de tout abandonné
Ton époux, tes enfants et ton foyer doré
Ton royaume maudit et tout ensorcelé
Tu t’es rendue compte que cette beauté cachait
Sous ce visage d’ange et ce sourire dégradé
Une méchanceté à couper le souffle et une telle cruauté
Qu’il ne serait possible d’y vivre et qu’il était mieux avisé
De sortir de chez toi et de ne rien demander
Ni argent, ni passé rien que ce que tu portais
Car les démons qui y habitent ne sont point amusés
Par ton comportement hostile et ta frivolité
Par ton âme sincère et point souillée
De cette monstruosité qui n’avait pu te toucher
Du jour au lendemain, tu t’es retrouvée
Seule, misérable sans un rien à manger
Mais nul, en te regardant, n’aurait pu penser
Que d’être ainsi, c’était toi qui avais décidé
Et que personne ne t’y avait guère obliger
A abandonné ce royaume enchanté
Par cette présence maléfique et endiablée
Et puis qui sait, peut être qu’un jour tu arriveras à t’en échapper
Complètement de ce sort qui t’a été jeté
Par le monstre avec lequel tu as été liée
Pour qu’enfin tu retrouves ta forme volée
La forme d’une femme mûre et en beauté
Et d’ôter ce maléfice qui t’avais encerclé
Cette image que tu représentes est tellement changée
De ce que tu es réellement et de ce que tu as été
Essuie cette larme de ta joue et ne t’arrêtes pas de prier
De rencontrer un prince charmant qui peut être t’embrasserais
Et enlèverait à jamais ce mauvais sort qui t’a été incombé.

De vieilles photos prises à tabarka




Je viens de retrouver quelques vieilles photos, et donc voila!! C'est pas fameux mais bon, j'y peux rien!!

.... tabarka....



Moi & le vertige ==> un couple d'enfer




On dit que L'angoisse est le vertige de la liberté, mais pour moi, le vertige m'angoisse et je suis démunie de toute liberté.

Bof


je saute du coq à l'ane!!



Rien à voir avec ce qui a précéder en photos!!

Des photos d'hammam lif, prises de chez moi



Le silence de la montagne est encore plus beau lorsque les oiseaux se sont tus





Encore des photos de bizerte






















L’homme n’a pas le droit de changer ce que Dieu a crée. Il faut aller jusqu’au bout de cette interdiction.

mercredi, août 23, 2006

De battre sa femme, mon coeur s'est arreté!!!!!!!!

J'ai écris ce pseudo poème car j'ai été épouventée de bon matin en lisant ce qu'a noté Maverick dans son blog!! donc Maverick je te dédie ce poème!!

Des muscles saillants
Le regard malveillant
Le sourire méchant
Et le voila maltraitant
Sa bonne femme et la traitant
Comme une merde comme un torchon

Seigneur que c’est révoltant
De voir les gens ainsi se comportant
A user de leur force et en frappant
Les plus faibles d’entres eux rien que pour prouver
Au reste du monde leur pseudo virilité

Le public se fait nombreux et bientôt des hués
De gens de partout ne cessent de trouver
Une raison à ce monstre déchaîné
Sur cette pauvre créature et qui l’humiliait

Devant ce voyeurisme et cette méchanceté
Cette extase qu’on les humains à regarder
Leur prochain souffrir sans broncher
Sans faire un pas pour la délivrer
Nul n’a essayé de la venger
Car en elle on ne voit qu’une traînée
Qui a mérité sa claque de son mari