mardi, août 29, 2006

C'est une petite histoire et pas un pseudo poème, je m'ennui beaucoup donc....



Il le dessina à son image
Il lui souffla de sa vie
Lui offrit le paradis

Il vivait dans le jardin d’Eden
Il était léger et libre
Il disposait de ses actes, de sa force
C’était un être parfait
Parfait, tout de même pas
Sa vanité a prit le dessus
Il se croyait puissant
Et a oublié l’origine de sa force

Il a été déçu
Par le comportement de sa créature
Par son arrogance et ses vices
Il a décidé de le tester
De lui priver d’une de ses liberté

« Tu as le droit de tout goûté
« Tout touché et de t’y promené
« Sauf ce petit arbre qui est dréssé
« Dans ce jardin que je t’ai confectionné
« Avec amour pour toi, ma créature bien aimée

Il en fut ainsi pour un moment
L’homme tout seul vagabondant
Lui le roi, lui le plus aimé
Les anges admiraient sa beauté
Et le diable la lui enviait

Sa curiosité a prit le dessus
Sa vanité a prit un coup
Son soit disons ami lui conseille
De goûter à ce fruit et de ne point écouter
Ce vieux monsieur qui le lui interdisait

Et il en fût ainsi
L’homme a manqué sa parole
Il a perdu sa foi
Il a perdu la confiance qu’il a méritée

Peiné, le Seigneur l’a rejeté
De son jardin d’Eden et l’a congédié
De ce paradis qui lui était destiné


Ennui. Un désert qui me traverse.




La vie est courte, mais l'ennui l'allonge. Aucune vie n'est assez courte pour que l'ennui n'y trouve sa place.

[Jules Renard]

Guitare, jamais utilisée!!


Bruit. Puanteur dans l'oreille. Musique non domestiquée. Produit principal et signe authentique de civilisation.

lundi, août 28, 2006

Petite pensée

Une nuit sans lune ou un jour embrumé
Une nuit blanche ou sombre comme journée
Un enfant blessé ou une enfance volée
Une famille brisée ou à moitié massacrée
Par les tirs ennemis et toute cette brutalité
Par de jeunes soldats à demi enragé
La soif de la mort et celle de tuer
Des familles entières et de martyriser
Des civils innocents et passer à côté
Du but fixé à l’avance et celui débiter
Pour mettre fin à un peuple déjà marginaliser

Honte à eux et à leur logique à deux balles
Qui leurs a inculquer cette volonté et cette sauvagerie
A assassiner les gens par rafales
Pour une cause déjà oubliée

La vision d’horreur a fait d’eux des machines
Prêtent à tirer au premier coup de sifflet
Sans se soucier de la cible à viser

Tant qu’il y a du sang ennemi tant qu’ils sont fiers
Du travail établi et des objectifs tracés
Ils méritent tous les châtiments du monde mais
En regardant leurs yeux d’enfants égarés
Mâchant des chewing-gum mentholés
Pour ôter ce goût du sang frais
Qui leurs emplis la bouche et les rend affamés
De mort et de viole comme des zombis
Ils ont tout perdu
Leur âme, leur foi et toute parcelle d’humanité
On reste coi devant cette bêtise sans gène
Et on tire un trait sur ce chapitre

vendredi, août 25, 2006

la fraternité

Un terme commun et pourtant tant ignoré
Par l’ensemble du monde et par toute l’humanité
On se croit meilleur parce que Dieu nous a donné
La beauté, la richesse et un nombre d’amis incalculés
Notre regard inquisiteur et notre façon déplacée
De juger les gens qui n’ont pas été épargné
Par un physique ingrat et une vie misérable
C’est difficile de comprendre comment tout avait commencé
Dans un patelin, une ville ou à travers toute une communauté
Ce désir de nuire à l’autre et ainsi se montrer
Supérieur ou grand seigneur, mais surtout bien en vue
A l’instar du monde, sur le dos de ses frères
Il remonte la pente et ne regarde point en arrière
Là où il a laissé sa famille et tous ses congénères
Et pourtant c’est eux qui l’on aidé à grimper
Les échelles de la gloire et ceux de la société
Ça parait terrible et surtout insensé
De voir le monde comme ça, s’exalter
Devant cette réussite pourtant non mérité
De cet être qui a ni cœur, ni bonté
Et qui ne se gène guère à conter
Au reste du monde son histoire et son passé
Il critique ses proches et tous les effrontés
Qui n’ont pas réussi à vivre selon le rythme qu’il suivait
La tolérance, la différence sont des termes oubliés
De son vocabulaire et de toute sa personnalité
Pour lui il n’y a nulle raison d’invoquer
Ces mots et ces expressions tant éloignées
De toute sa vie, il n’avait jamais pensé
Qu’un jour il aurait besoin d’un brin de fraternité
L’amour pour lui se résume en un bout de papier
Un peu d’argent ou une feuille d’un chéquier
Il a oublié l’essence de la vie et la clé du bonheur
Pour lui il ne se résume que dans un sourire flatteur
Un sourire éphémère et sans aucune valeur
Le pire c’est qu’il ne fait pas l’exception dans ce secteur
L’ensemble de l’humanité semble axée
Sur cette voie d’intolérance et de manque de fraternité

jeudi, août 24, 2006

Petit Garçon


L’estomac nouer et le visage crisper
Le regard absent et limite distrait
Les lèvres minces et à moitié fermées
Les yeux mi clos et des larmes coulaient
Sur ce visage d’enfant à moitié changé
Par cette douleur intense et toute fois insensée
Vers ce petit être innocent elle a été dirigée
Par erreur sans doute elle lui a été infligée
Mais sur son petit cœur ces traces ne seront jamais effacées
Sa détresse est telle qu’il se trouve paralysé
Dans le gouffre qu’est la vie, il a été égaré
Son regard, ses gestes tout en lui s’est retrouvé
En une fraction de seconde son innocence s’est envolée
Et a été remplacée par la cruelle dureté
Du monde réel et de toute son incommodité
Une vision d’horreur l’a à jamais enveloppée
Pauvre petit, malheureuse destinée !!

La Maudite














Tu étais mal renseignée
Sur ce bled pourris et mal fréquenté
Point préparé à affronter
Cette image du monde effarouchée
Toi qui ne connaît de la vie que ces bons côtés
Une mère chaleureuse et une dot à côté
Pour les moments de crises, elle y était destinée
Et voila qu’un beau jour tu avais décidée
De tout laisser tombé et de tout abandonné
Ton époux, tes enfants et ton foyer doré
Ton royaume maudit et tout ensorcelé
Tu t’es rendue compte que cette beauté cachait
Sous ce visage d’ange et ce sourire dégradé
Une méchanceté à couper le souffle et une telle cruauté
Qu’il ne serait possible d’y vivre et qu’il était mieux avisé
De sortir de chez toi et de ne rien demander
Ni argent, ni passé rien que ce que tu portais
Car les démons qui y habitent ne sont point amusés
Par ton comportement hostile et ta frivolité
Par ton âme sincère et point souillée
De cette monstruosité qui n’avait pu te toucher
Du jour au lendemain, tu t’es retrouvée
Seule, misérable sans un rien à manger
Mais nul, en te regardant, n’aurait pu penser
Que d’être ainsi, c’était toi qui avais décidé
Et que personne ne t’y avait guère obliger
A abandonné ce royaume enchanté
Par cette présence maléfique et endiablée
Et puis qui sait, peut être qu’un jour tu arriveras à t’en échapper
Complètement de ce sort qui t’a été jeté
Par le monstre avec lequel tu as été liée
Pour qu’enfin tu retrouves ta forme volée
La forme d’une femme mûre et en beauté
Et d’ôter ce maléfice qui t’avais encerclé
Cette image que tu représentes est tellement changée
De ce que tu es réellement et de ce que tu as été
Essuie cette larme de ta joue et ne t’arrêtes pas de prier
De rencontrer un prince charmant qui peut être t’embrasserais
Et enlèverait à jamais ce mauvais sort qui t’a été incombé.

De vieilles photos prises à tabarka




Je viens de retrouver quelques vieilles photos, et donc voila!! C'est pas fameux mais bon, j'y peux rien!!

.... tabarka....



Moi & le vertige ==> un couple d'enfer




On dit que L'angoisse est le vertige de la liberté, mais pour moi, le vertige m'angoisse et je suis démunie de toute liberté.

Bof


je saute du coq à l'ane!!



Rien à voir avec ce qui a précéder en photos!!

Des photos d'hammam lif, prises de chez moi



Le silence de la montagne est encore plus beau lorsque les oiseaux se sont tus





Encore des photos de bizerte






















L’homme n’a pas le droit de changer ce que Dieu a crée. Il faut aller jusqu’au bout de cette interdiction.

mercredi, août 23, 2006

De battre sa femme, mon coeur s'est arreté!!!!!!!!

J'ai écris ce pseudo poème car j'ai été épouventée de bon matin en lisant ce qu'a noté Maverick dans son blog!! donc Maverick je te dédie ce poème!!

Des muscles saillants
Le regard malveillant
Le sourire méchant
Et le voila maltraitant
Sa bonne femme et la traitant
Comme une merde comme un torchon

Seigneur que c’est révoltant
De voir les gens ainsi se comportant
A user de leur force et en frappant
Les plus faibles d’entres eux rien que pour prouver
Au reste du monde leur pseudo virilité

Le public se fait nombreux et bientôt des hués
De gens de partout ne cessent de trouver
Une raison à ce monstre déchaîné
Sur cette pauvre créature et qui l’humiliait

Devant ce voyeurisme et cette méchanceté
Cette extase qu’on les humains à regarder
Leur prochain souffrir sans broncher
Sans faire un pas pour la délivrer
Nul n’a essayé de la venger
Car en elle on ne voit qu’une traînée
Qui a mérité sa claque de son mari

mardi, août 22, 2006

Une famille ordinaire

Un matin, un jour dans une ville, à une maison quelconque, un petit garçon maigrichon habillé sans goût et assit sur une chaise devant la table de la salle à manger, regarda sa maman, qui, elle est habillée d’une façon criarde et sans aucun goût, il attendit qu’elle lui serve sont petit déjeuné. Mais cette fois ci, sa maman ne faisait rien, elle était assise devant lui, regardant dans le vide. Il n’a pas osé la déranger, au fait il y’a eu une grosse dispute entre elle et son papa, celui là est parti sans même lui dire au revoir. Il était tout de même content que l’autre soit parti, oui bien sur, il n’arrêtait pas de le frapper et de maltraiter sa maman, de l’insulter, ….
Et voila 20minutes, peut être plus se sont passées et sa mère n’a pas bougé, n’a même pas répondu à son bonjour, et pourtant elle semblait la même sauf ce petit air hagard.
Il descendit de sa chaise, se tourna vers sa maman et lui passa sa main sur son épaule, elle ne bougea point, elle resta figée, ne lui prêta aucune attention. Et d’un coup, il vit une tache pourpre sur la chemise de celle-ci, elle était bien visible, il lui fit part de ceci mais rien, aucune réponse. Il reprit sa place, en silence, il ne comprit pas pourquoi elle le boudait il n’avait rien fait pour. Petit à petit, un sentiment d’incompréhension s’empara de lui, il fut déçu par le comportement de celle-ci, celle en qui il croyait, sa seule alliée. Il se leva de la table en s’excusant, et il monta à sa chambrette.
Vers le coup de 11h, il redescendit à la cuisine tant à la demande de son estomac qui réclamait à manger et tant par la curiosité.
Etant en vacance, il n’avait pas cour, mais il avait l’habitude d’entendre du vacarme, et d’entendre le chant de sa mère quand elle rangeait la maison et qu’elle préparait à manger. Mais là, rien n’y fut, aucun signe de vie. Il entra dans la cuisine, et vit avec horreur que sa maman se tenait toujours dans la même position, et qu’en prime il y avait un horrible moucheron verdâtre qui était posé sur son œil droit, qui prenait son aise. Il poussa un cri et sa mère ne bougea point, par contre le moucheron prit son envole pour se poser plus loin. Il secoua sa mère, il remarqua que son corps était tout de même froid par rapport à d’habitude. Il la secoua plus fort, et là elle tomba par terre.
Il prit peur, il essaya en vain de la relever, mais du haut de son mètre vingt et de ses 40 kilos il n’avait pas la force nécessaire. Il alla cherché un coussin pour le mettre sous sa tête, il coura chercher un drap pour la recouvrir pour qu’elle n’attrapa pas froid et couru en pleur vers la maison des voisins pour leur demander de l’aide. A sa surprise, il ne trouva personne, il revint à la maison, donna à boire à sa maman qu’il prit pour malade, mais il lui semblait qu’elle ne buvait pas parce que tout le liquide débordait et donc il n’insista pas d’avantage. Il se prépara un sandwich au beurre et s’installa devant la télé pour regarder ses dessins animés. Deux heures passèrent, il revint à la charge vers sa maman, il lui demandait si elle voulait bien se relever, si elle voulait manger quelque chose, si elle voulait monter dans chambre, mais rien. Aucune réponse ne lui vint. Il croyait naïvement qu’elle lui faisait la tête pour un mal qu’il aurait commis mais il était loin de s’apercevoir que sa maman avait quitté ce monde depuis déjà un bon moment.

Silence, on tourne !




Silence, on tourne !
On exige toujours le silence, c’est un fait lorsqu’on cherche à nous concentrer il nous est presque impossible de le faire en présence de plusieurs individus ou plutôt en un lieu bruyant.
On demande le silence une première fois, on l’exige la seconde fois, on l’ordonne la troisième fois et on quitte la scène la quatrième fois. Des fois, on ne suit pas ce raisonnement logique, on passe directement à la quatrième étape ou pire encore, on passe à l’action.
le fait est que le silence est un trésor, oui je suis consciente de ce que je dis car il est rare qu’on en profite pleinement, il y a toujours un quelque chose qui survient à l’improviste et qui fait en sorte de nous sortir de notre torpeur souhaitée…
En étant plus attentif, on se rend compte que le silence n’est pas le seul à être « exigé ». On exige bien des choses dans notre vie et bien au delà ; on exige d’être respecté, d’être aimé, d’être nous même, et puis on exige qu’on se souvienne de nous, qu’on prie pour nous qu’on parle de nous et qu’on nous prenne pour des exemples bien qu’en réalité on n’en ai loin, et ce même pas pour nous même. C’est drôle tout de même, on n’est même pas foutu de nous accepter nous même et voila qu’on voudrait que les autres nous prenne pour ce que nous ne sommes pas, on a déjà du mal à nous regarder en face et à citer nos innombrables défauts.
Silence, on tourne !! Mais au fait, qu’est ce qu’on est en train de tourner !? On passe sa vie à se comporter comme des acteurs, on prend des rôles de gens qu’on ne connaît pas, on veut impressionner les autres, leurs faire croire qu’on est invulnérable, qu’on est les plus forts, les plus costauds et surtout qu’on est « heureux ». Nous avons un plaisir fou à nous faire passer pour des gens heureux comblé par la nature, on passe sa vie à sourire et à donner une impression totalement fausse et pourtant,… Dieu seul sait ce qui se trame dans notre petite cervelle, Dieu seul sait si notre âme est belle et bien vivante, si on a la foi en nous, en lui, en les autres…
On fait ce que l’on peut pour impressionner les autres, toujours les autres et on oubli que la vie ne va pas nous attendre, que chaque jour passé est une bénédiction et qu’il n’est pas sur que le jour suivant on sera capable de regarder le ciel, le soleil, on n’est pas sur que demain on pourra se regarder en face et faire un bilan de notre misérable vie.
La vie est une mise en scène, il y a des acteurs, il y a des figurants, un metteur en scène et beaucoup de matériels sophistiqués, et nous sommes tout petit au milieu de tout ce tohu-bohu, on est tellement petit qu’on est presque invisible alors on fait des pieds et des mains pour pouvoir nous différencier et sortir du lot et chacun fait avec ce qu’il peut.
Avec ce qu’il peut, oui mais pas autant qu’il peut. Ça parait extravagant dit comme ça, mais je vous assure que ce n’ai pas ce que je vise, enfin peut être. Je suis quasi certaine qu’en tant qu’êtres vivants, on a une volonté énorme de survie, et en tant qu’êtres humains, on a une volonté énorme de se différencier. Mais on est tellement paresseux et tellement axé sur des futilités qu’on oublie l’essentiel qui n’est autre que de sortir du lot sans pour autant écraser les autres, ce qui nous semble impossible.

Conversation!



- La vie est belle, tu ne trouves pas ?
- Ca dépend de qui le dit, si c’est quelqu’un ne vit pas dans ce monde alors là oui, je te dis que la vie est belle, mais sinon….
- Mouai…. Mais je trouve que tu es un brin cynique, non ? Regarde la vie du bon côté ?
- Mais quel bon coté ? du coté de la guerre, de la famine, des enfants massacrés, des génocides, des catastrophes naturelles, de MOI !????? Arrêtes stp, tu me fatigues avec tes idées saugrenues !
- Waoo ! Mais dis donc, qu’est ce que tu me sors là ? Moi je te parle d’une chose et toi d’une autre !
- Ah oui, parce que ce que tu vois là, t’enchante ??
- Mais arrête stp, arrête ! C’est loin tout ça, c’est super loin ! Ce n’est pas ton cas à toi, ils sont misérables d’accord mais c’n’est pas tes proches que je sache, alors arrête !
- Mon Dieu ! Tu le fais exprès ? Tu blagues là ?
- pfff…
- alors cela ne te fait rien de voir les misères des autres ?
- dis moi toi, tu dors le soir ? Tu prends ton petit déj le matin ? Tu sors voir tes copains ? Tu fais des cochonneries avec ta copine ? Alors qui es tu pour venir me juger moi ?? Tu crois que cela ne me fait rien de regarder les news et de voir des gens décapités pour une cause que personne ne comprend ? Tu crois que j’arrive à m’endormir moi ? Tu crois que tu es meilleur parce que tu craches ton venin sous prétexte que tu es touché par le malheur des autres !?? Qu’est ce que tu as fais pour les aider toi ? Tu as donné de ton sang ? De ton argents ? De ton temps ?
- …. Hey, mais tu montes sur tes grands chevaux !!
- ne viens pas me faire la morale, ok ? Tu n’es pas meilleur que moi !
- là n’est pas la question !
- c’est vrai, mais moi je ne fais pas l’hypocrite, je ne me voile pas la face ! Je suis peut être égoïste mais au moins j’ai les couilles pour le dire, ce qui n’est pas ton cas à ce que je vois !!
- Eh merde !
- Tu l’as dis !!
- alors qu’est ce que tu penses de la vie maintenant !? Elle est belle hein ?
- Oui très belle, et toi aussi t’es mignon
- pfff, arrêtes avec tes conneries, par pitié…
- Ok, ok, j’arrête… alors tu viens, je t’invite pour un café, on fait la paix
- la paix…. La paix… ça c’est un beau mot !!

Sincèrement

Je regrette,

Je ne pensais pouvoir le dire un jour ! Oui maintenant je le dis, je regrette ma méchanceté, je regrette ma oisiveté, je regrette mes dires, je regrette cette image que je fais circuler de moi, je regrette ma lâcheté, je regrette mon existence médiocre, je regrette ce que j’ai fait, je regrette ce que je n’ai pas eu le courage de faire, je regrette de n’avoir pas eu le courage de me faire pardonner, je regrette mes fautes, je regrette mes mauvaises intentions, mes mauvaises manières, je regrette mon manque de finesse, je regrette mes amours, je regrette ma haine, je regrette mon idéal,…
Je demande pardon à tout le monde et je leurs dis que je regrette sincèrement.

La liberté!



La liberté est un luxe qu’on ne peut pas tous se le permettre.
La liberté est une foie
La liberté est une vision des choses
La liberté est un état d’être
La liberté est une nécessité
La liberté est obligatoire
La liberté est notre
La liberté est votre
La liberté est difficile
La liberté est d’être actif
La liberté est de savoir quoi faire
La liberté est de savoir quand faire
La liberté est d’être libre
La liberté est de ne pas être obligé
La liberté est faire ce qu’on veut
La liberté est faire ce qu’on peut
La liberté est faire tout ce qu’on peut
La liberté est de ne pas nuire aux autres
La liberté est d’être soi même
La liberté est de dire ce qu’on veut
La liberté est tellement difficile
La liberté est complexe
La liberté est une obligation
La liberté est un droit
La liberté n’est pas pour les plus démunie
La liberté est pour les plus fort
La liberté est un luxe qu’on ne peut pas tous se le permettre.

Un ange



Un petit ange perdu
Un petit diable pendu
Le petit ange observa le diable
Le petit ange eu un regard
Le petit ange eu un sourire
Le petit diable eu peur
Il s’adressa à lui en suppliant
Lui demandant de le libérer
Le petit ange lui répondit en souriant
Un non méprisant
Le sourire aux lèvres
Les yeux mi clos
Le petit diable rendu l’âme
Le petit ange rebroussa son chemin
Soudain, le petit ange perdu sa blancheur
Le blanc vira au rouge
Le bleu de ses yeux au noir
Le petit ange se transforma en petit diable
Le petit diable se retrouva pendu
Et un petit ange passa devant lui perdu
Sans un regard mais un sourire aux lèvres.

Amour

On était seul, on était jeune
On ne sentait pas le temps passé
Nos cœurs se sont mis à chambouler
Notre histoire avait commencé
Tout s’est mis à se tracer
D’un coup on s’est vu dépasser
Par nos sentiments et par notre volonté
On était pris dans un monde d’irréalité
Un monde où tout ceux qui s’apprêtait
A donner leurs vies à leurs bien aimé
Sortaient du cercle des damnés
Vivaient dans des cages dorés
Se prenaient pour des rois dans leurs vallées
Et regardaient le reste de l’humanité
Avec des yeux pleins de gaietés
Mais je me rends compte que je rêvais
Que tout cela était imaginé
Que mon amour n’avait jamais existé
Et que je suis toujours seule sans personne pour aimer.

lundi, août 21, 2006

voila quelques photos prises il y a un bout de temps deja!!