Comment savoir
Etre vivant sans vraiment savoir
Respirer sans pour autant le vouloir
Croire en toi, sans m’apercevoir
Que moi pour toi suis tellement dérisoire
Que ma présence pour toi est nul obligatoire
Qu’autant que je sache, tu ne voudras jamais croire
Qu’en toi j’ai tout misé, tout donné
Mon âme, je l’ai abandonnée
Vendue au diable ou seulement égarée
Mais en tout cas, pour toi j’ai tout fais
Ma famille, mes proches, je les ai nié
Pour toi, mon cœur je n’ai jamais exister
Par amour de la chair tu m’as apprivoisé
Et dans mon cœur tu m’as saigné
Sache que grâce à toi, je n’ai plus la force d’exister
En amour ou en guerre tout s’est déjà tracé
Sois fier de toi, de tout ce que tu as fait
Vas y, défiles toi comme tu l’as toujours fait
Profite de ma faiblesse et n’ais aucune pitié
A étouffer mon âme car elle s’est déjà noyer
Dans ce gouffre sans issue qu’est ta vanité
Respirer sans pour autant le vouloir
Croire en toi, sans m’apercevoir
Que moi pour toi suis tellement dérisoire
Que ma présence pour toi est nul obligatoire
Qu’autant que je sache, tu ne voudras jamais croire
Qu’en toi j’ai tout misé, tout donné
Mon âme, je l’ai abandonnée
Vendue au diable ou seulement égarée
Mais en tout cas, pour toi j’ai tout fais
Ma famille, mes proches, je les ai nié
Pour toi, mon cœur je n’ai jamais exister
Par amour de la chair tu m’as apprivoisé
Et dans mon cœur tu m’as saigné
Sache que grâce à toi, je n’ai plus la force d’exister
En amour ou en guerre tout s’est déjà tracé
Sois fier de toi, de tout ce que tu as fait
Vas y, défiles toi comme tu l’as toujours fait
Profite de ma faiblesse et n’ais aucune pitié
A étouffer mon âme car elle s’est déjà noyer
Dans ce gouffre sans issue qu’est ta vanité
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