Une voix paisible
Un regard doucereux
Un sourire aimable
Et un corps à faire peur
Tout est là
Tous les ingrédients de ma vie
Toute la magie du moment
Toute la nostalgie de mon siècle
Tout ce que j’ai à dire
En me regardant le soir
Dans le miroir de la salle de bain
Dans mon âme qui agonise
Dans mon cœur meurtri
Je le dis et redis
Jusqu’à ce que je sois imprégnée
Jusqu’à ce que je change de cap, de vie ou de corps
Jusqu’à ce que je meurs
Jusqu’à ce que j’oublie
Et qu’on m’oublie
Qu’on oublie les erreurs que j’ai commises
Qu’on oublie l’erreur que j’étais
Qu’on me nargue
Et qu’on me saoule
Dans des souvenirs malheureux
Dans des histoires à dormir debout
Et que je quitte ce monde à jamais
Ce monde qui me déteste, ce monde que je déteste.
****************************
****************************
N’oublie pas de sourire à la vie
N’oublie pas de regarder les autres
N’oublie jamais de porter des couleurs
Tel sont les paroles d’un sage
Qui nous montre tous les bons présages
De tous les hommes qui sont en nage
Dans ce lac pourris, dans cette cage
Autour desquels on y plante toutes sortes d’alliages
Des métaux précieux surmontés de nuages
De démons, d’anges qui vous tourne autour
A vous donner la nausée, à gerber au pourtour
De cette vie imposée à nous et qu’on n’a pas choisit
Et voila que notre seule volonté
A surmonter cette peur
A nous prescrire au bonheur fou
A nous prémunir de cette folie aveugle
A nous ouvrir les yeux sur la dure réalité
Cette réalité mesquine et injuste
Où tout parait rose, tant dit ce que nous sommes en train d’expirer
Cette dernière parcelle qui s’incruste
Qui nous donne tant de mal que de bien
Et qui nous empêche de sortir vainqueur
Contre cette vie qui nous bouffe notre bonheur
Un regard doucereux
Un sourire aimable
Et un corps à faire peur
Tout est là
Tous les ingrédients de ma vie
Toute la magie du moment
Toute la nostalgie de mon siècle
Tout ce que j’ai à dire
En me regardant le soir
Dans le miroir de la salle de bain
Dans mon âme qui agonise
Dans mon cœur meurtri
Je le dis et redis
Jusqu’à ce que je sois imprégnée
Jusqu’à ce que je change de cap, de vie ou de corps
Jusqu’à ce que je meurs
Jusqu’à ce que j’oublie
Et qu’on m’oublie
Qu’on oublie les erreurs que j’ai commises
Qu’on oublie l’erreur que j’étais
Qu’on me nargue
Et qu’on me saoule
Dans des souvenirs malheureux
Dans des histoires à dormir debout
Et que je quitte ce monde à jamais
Ce monde qui me déteste, ce monde que je déteste.
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N’oublie pas de sourire à la vie
N’oublie pas de regarder les autres
N’oublie jamais de porter des couleurs
Tel sont les paroles d’un sage
Qui nous montre tous les bons présages
De tous les hommes qui sont en nage
Dans ce lac pourris, dans cette cage
Autour desquels on y plante toutes sortes d’alliages
Des métaux précieux surmontés de nuages
De démons, d’anges qui vous tourne autour
A vous donner la nausée, à gerber au pourtour
De cette vie imposée à nous et qu’on n’a pas choisit
Et voila que notre seule volonté
A surmonter cette peur
A nous prescrire au bonheur fou
A nous prémunir de cette folie aveugle
A nous ouvrir les yeux sur la dure réalité
Cette réalité mesquine et injuste
Où tout parait rose, tant dit ce que nous sommes en train d’expirer
Cette dernière parcelle qui s’incruste
Qui nous donne tant de mal que de bien
Et qui nous empêche de sortir vainqueur
Contre cette vie qui nous bouffe notre bonheur
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